Dans le cadre du projet Interclass que j’avais créé avec la directrice de France Inter d’alors, Laurence Bloch, et l’actuelle médiatrice de Radio France Emmanuelle Daviet, les élèves avaient pris l’habitude, durant des séances de travail en classe, de commencer par un point sur l’actualité. Les « news » qu’ils rapportaient devaient être sourcées. Il leur fallait une ou deux séances pour comprendre qu’ils ne pouvaient considérer Twitter (pas encore X) ou TikTok comme sources fiables si l’émetteur de l’information n’était pas un grand média reconnu.
Les séances suivantes, ces grands médias faisaient leur apparition sur le tableau de la salle de classe, mais ne purent concurrencer les sites d’information pour adolescents, relayés par les réseaux sociaux. Hugo Décrypte et quelques autres s’i…
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