De pénalty à carton rouge: l’action cauchemar d’Emerson avec l’OM contre le Sporting en Ligue des champions

Déjà averti, le latéral de l’OM, Emerson Palmieri, a reçu un deuxième carton jaune pour simulation dans la surface du Sporting Lisbonne alors que l’abritre avait, dans un premier temps, sifflé pénalty.
L’ascenseur émotionnel pour les fans de l’OM. À quelques secondes de la fin de la première période entre le Sporting Lisbonne et l’Olympique de Marseille en Ligue des champions ce mercredi soir, le match a soudainement basculé.
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Trouvé dans la surface portugaise, le latéral gauche olympien Emerson Palmieri s’est écroulé après son contrôle. L’arbitre du soir, Rade Obrenovic, n’a pas hésité une seconde et a sifflé pénalty pour l’OM. Mais c’était sans compter sur l’intervention de la VAR qui a mis en lumière l’exagération de l’Italien sur ce contact quasi-inexistant.
Alors, l’homme au sifflet a annulé le pénalty et donné un carton jaune à Palmieri pour simulation. Sauf que le défenseur avait déjà reçu un carton jaune à la 39e minute pour une main jugée intentionnelle.
Un maigre avantage grâce à l’attaquant du moment
Les hommes de Roberto De Zerbi ont donc regagné les vestiaires réduits à 10 contre 11, mais avec un but d’avance. Car les Phocéens ont été mis sur de bons rails grâce à leur attaquant Paixao dès la 14e minute de jeu. Trouvé sur la gauche par Pierre-Emerick Aubameyang, il s’est remis sur son pied droit avant de dégainer une merveille de frappe enroulée, direction la lucarne opposée.
Le joueur de 25 ans avait déjà été décisif lors du précédent match de phase de ligue de C1 contre l’Ajax Amsterdam avec un doublé et une passe décisive (4-0) mais aussi en Ligue 1 contre Metz (un but) et le Havre (une passe décisive).
Outre l’expulsion d’Emerson Palmieri, les Marseillais auraient pu être rapidement réduit à 10 après une faute dès la 3e minute de leur capitaine Leonardo Balerdi. Mais, à cet instant du match, l’arbitre n’a pas estimé que l’Argentin avait anihilé une action en but en tant que dernier défenseur.




