Trends-CA

Pierre-Yves Roy-Desmarais nous dévoile tous les secrets de sa préparation pour l’animation du Gala de l’ADISQ

Le Gala de l’ADISQ célèbre sa 47e édition cette année, avec une soirée qui promet de faire rayonner la musique d’ici comme jamais. À la barre de cette grande fête musicale pour une deuxième année de suite, Pierre-Yves Roy-Desmarais animera la soirée armé de son humour éclaté! Entre performances électrisantes, moments d’émotion et clins d’œil comiques, cette célébration s’annonce aussi mémorable que musicale.
• À lire aussi: Clouée au lit, Géraldine Lamarche révèle la maladie qui l’empêche de travailler

• À lire aussi: Mario Dumont revient sur son passage à «En direct de l’univers»

• À lire aussi: C’est elle qui remplace Marie-Eve Janvier aux «Filles du lunch»

L’an dernier, ton numéro d’ouverture a frappé fort. Tu y abordais le stress de reprendre le flambeau après Louis-José Houde, les changements climatiques, tu as fait une chanson au piano, etc. Comment arriveras-tu à surpasser cette excellente première prestation?

Premièrement, j’aime bien me rappeler que cette soirée n’est pas à propos de moi. Le but est d’abord et avant tout de célébrer la musique d’ici, de mettre en lumière nos chanteurs et musiciens. Juste de garder ça en tête, ça m’enlève un peu de pression. Mon rôle est de mettre la table pour que les gens passent une belle soirée. Cela dit, je ne peux pas refaire la même affaire cette année, il faut prendre une autre direction.

Quelle est-elle?

Depuis le printemps, l’équipe de scripteurs et moi, on se rencontre à peu près une fois par semaine pour échanger des idées, dire ce qu’on a trouvé cool l’an dernier, ce qu’on veut améliorer. Tranquillement, les idées ont commencé à émerger et une thématique s’est imposée d’elle-même: ma deuxième animation! Sérieusement, en jasant, on s’est dit, avec beaucoup d’ironie: «Mais comment on va faire pour surpasser ce triomphe-là?» Sans le savoir, on venait de trouver notre point de départ pour l’ouverture de la 47e édition du Gala de l’ADISQ.

Quelle est la différence entre animer un gala et présenter un one man show?

Le plus grand défi quand j’anime un gala, c’est de plaire à deux publics: celui devant moi et celui dans les foyers québécois. Il faut trouver un juste équilibre entre créer une ambiance festive dans la salle Wilfrid-Pelletier et divertir les gens à la maison. Si je fais juste un show pour les téléspectateurs, l’assistance risque de trouver ça plate, et ça va inévitablement se refléter à l’écran!

Quel est, selon toi, l’élément essentiel d’un bon gala?

Il y en a plusieurs, mais si j’avais à n’en choisir qu’un, je dirais qu’il doit être «rassembleur». Et je le dis avec de gros guillemets, parce que ce mot-là revient tellement quand on parle d’un gala. Mais c’est ça pareil: il faut que tout le monde se sente inclus, que chacun ait du plaisir. Je souhaite quasiment que les nommés oublient pourquoi ils sont là, qu’ils apprécient le show devant eux, sans penser aux trophées en jeu! (rires)

As-tu rodé ton numéro d’ouverture dans des comédie clubs afin d’être prêt pour le 9 novembre prochain?

Sans vous dévoiler de punch, je peux vous dire que mon numéro d’ouverture se présente mal dans un comédie club, puisqu’il comporte des éléments techniques. Alors, je répète mes textes, mais les pratiques se déroulent dans un contexte précis. Je m’excuse d’être flou, mais c’est pour conserver la surprise! (rires)

En terminant, qu’est-ce qui t’occupe, outre le gala?

J’ai la première de mon deuxième one man show, Une année en un an, le 5 novembre prochain à Montréal. Sinon, immédiatement après l’animation de l’ADISQ, je débute les tournages du Bye Bye 2025. La fin de mon année sera hyper occupée. Je me reposerai en janvier! (rires)

Secret de tournage…

Lorsque Pierre-Yves n’est pas sur scène, il regarde le show sur un moniteur en coulisses, en révisant sa prochaine intervention. «Je jette un coup d’œil à l’écran, au cas où je dois rebondir sur quelque chose d’inattendu, mais ça va tellement vite que je n’ai pas vraiment le temps d’apprécier ce qui se passe sur scène. C’est davantage durant les répétitions que j’ai le temps de regarder le spectacle et de jaser avec les différents invités.»

Psitt! 

Grand fan de musique d’ici, Pierre-Yves a trouvé l’endroit idéal pour écouter les nouveaux albums des artistes québécois. «Comme je suis présentement en rodage de mon prochain one man show, je fais beaucoup de route. Alors j’en profite pour écouter de la musique québécoise. Je suis seul dans mon char, 100 % concentré sur ce que j’entends. En plus, la route me paraît plus belle avec de la musique que j’aime!»

À voir aussi: 

Related Articles

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Back to top button