Venus de France, Belgique ou du Quebec, ils aiment Art to play à la folie

Article premium,
Réservé aux abonnés
Après deux jours de fête, Art to play s’est achevé en apothéose, dimanche soir. Les aficionados sont repartis ravis et veulent tous revenir l’an prochain.
Nora et Lewis sont venues de Tours et du Mans pour leur première à Art to play. | PHOTO PRESSE OCÉAN-PHILIPPE CORBOU
fermer
- Nora et Lewis sont venues de Tours et du Mans pour leur première à Art to play. | PHOTO PRESSE OCÉAN-PHILIPPE CORBOU
Publié le 16/11/2025 à 19h12
Lire plus tard
Partager
- BlueSky
Newsletter Nantes
Chaque matin, recevez toute l’information de Nantes et de ses environs avec Presse Océan
Votre e-mail, avec votre consentement, est utilisé par Ouest-France pour recevoir notre newsletter. En savoir plus.
Dimanche matin. Le tramway est bondé. On se croirait un soir de match à la Beaujoire. Sauf que les déguisements sont différents. On croise un Dark Vador, des geishas japonaises, une renarde, le héros de Massacre à la tronçonneuse, un jeune robocop en fauteuil roulant. Gare de Nantes, les passagers qui embarquent sont un peu surpris. Mais l’ambiance est chaleureuse et rieuse. Les habitués du festival Art to play sont réunis entre eux. Ils ont leur propre dialogue que tous ne peuvent pas comprendre.
À l’arrivée à la Beaujoire, c’est presque la…




