Ses imposantes lunettes noires au verre teinté n’ont pas suffi à masquer son émotion. Alors que Nicolas Sarkozy avait prévenu dans nos colonnes que son épouse « souffrait physiquement » de leur séparation, Carla Bruni-Sarkozy est effectivement apparue très pâle et le visage marqué à la Cour d’appel de Paris, ce lundi 10 novembre, pour accompagner les avocats de son mari déposer une requête en libération.
Comme 20 jours plus tôt devant la prison de la Santé, l’ex-Première dame a pu compter sur le soutien inébranlable du clan Sarkozy puisqu’elle était accompagnée par Pierre et Jean Sarkozy. Tout jeune papa, Louis Sarkozy était absent, tout comme sa petite sœur Giulia, qui à tout juste 14 ans, avait école ce lundi. Carla Bruni Sarkozy n’a fait aucun commentaire.
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20 jours de détention
Devant la cour d’appel de Paris, Nicolas Sarkozy (qui était présent en vidéoconférence) a décrit ses vingt jours d’incarcération à la prison de la Santé comme « très durs » et « éreintants ». L’ancien président a néanmoins tenu à « rendre hommage au personnel pénitentiaire » qui a, selon lui, rendu « ce cauchemar supportable ». Le parquet général a soutenu sa demande de libération sous contrôle judiciaire. Le verdict est attendu à 13 h 30.
