Publié30. novembre 2025, 14:04
Formule 1Les conditions pour que Lando Norris soit champion du monde
Le pilote britannique de l’écurie McLaren peut décrocher sa première couronne mondiale, ce dimanche, à l’issue du Grand Prix du Qatar. Voici les conditions exigées.
Lando Norris va-t-il décrocher le premier titre mondial de sa carrière, ce dimanche, au Qatar?
IMAGO/NurPhoto
Lando Norris va-t-il devenir, ce dimanche, le 35e champion du monde de l’histoire de la Formule 1? Le Britannique de l’écurie McLaren a son destin en main pour mettre fin au suspense dès le Grand Prix du Qatar, avant-dernier rendez-vous de la saison 2025.
À 17 heures (heure suisse), le pilote de 26 ans s’élancera en deuxième position sur la grille, entouré de ses deux derniers rivaux pour le titre (derrière son coéquipier australien Oscar Piastri et devant le tenant du titre néerlandais Max Verstappen).
Au moment de prendre le départ, le natif de Bristol comptera 396 points (et sept succès). Un total qui lui permet de disposer d’une marge de 22 unités sur son partenaire chez McLaren (2e avec 374 points, sept victoires) et 25 unités d’avance sur la superstar de Red Bull (3e avec 371 points, six succès).
La victoire rapportant 25 unités, les deuxième et troisième places respectivement 18 et 15 points, un succès sur le circuit de Losail suffirait alors au bonheur de Lando Norris, peu importent les résultats finaux d’Oscar Piastri et de Max Verstappen.
Si le Britannique ne parvenait pas à l’emporter, il pourrait tout de même être sacré s’il venait à se classer devant le quadruple champion du monde sortant et s’il reprenait a minima quatre points à son coéquipier. S’il venait à finir deuxième, alors Oscar Piastri ne devra pas terminer à une meilleure place que la quatrième. Et ainsi de suite jusqu’au septième rang (Oscar Piastri alors maximum neuvième), alors que le huitième rang nécessiterait qu’Oscar Piastri termine hors des points.
Si ces conditions ne sont pas réunies, alors le pilote de l’écurie McLaren devra patienter une semaine supplémentaire pour tenter de triompher au terme du Grand Prix d’Abu Dhabi, qui conclut traditionnellement la saison. Mais la pression serait alors maximale sur les épaules de l’homme aux onze succès et 42 podiums en Formule 1.
