«Il fallait que tu sois là»: France Beaudoin revient sur la présence de Mario Dumont à «En direct de l’univers»

Samedi dernier, France Beaudoin et toute l’équipe d’En direct de l’univers ont préparé une édition très spéciale pour souligner le 400e épisode du rendez-vous musical, auquel a participé Mario Dumont, tout comme une trentaine de personnes du public, ainsi que Michel Charette, Alex Perron et Phil Laprise.
«On se demandait quel format ça allait prendre, par quel bord on pren[drait] tout ça. On recevait des milliers de demandes. À partir du moment où on a vu qu’on avait beaucoup de “Dee Snider” à travers notre public, on s’est dit qu’on allait retourner dans notre banque d’informations. […] Et le premier artiste qui sortait en tête de liste, c’était Mario [Dumont]», a expliqué l’animatrice et productrice d’En direct de l’univers, lundi, à l’antenne du 99,5 FM Montréal pendant l’émission matinale de Mario Dumont sur QUB radio.
«On espérait tellement que tu puisses être là. On a fait un premier appel à ta blonde, Marie-Claude, pour être sûrs que tu n’avais rien ce samedi soir, mais il fallait que tu sois là», a-t-elle lancé à l’animateur.
Habituée à prendre ses invités par surprise et à produire des émissions à grand déploiement, France Beaudoin a également avoué au cours de cette entrevue, lundi matin, que ce 400e épisode avait été assez intense à monter.
«C’est ce qu’on a fait de plus gros, de plus costaud en direct», a-t-elle dit au micro de Mario Dumont, soulignant qu’habituellement les gros rendez-vous de la saison, comme En direct du jour de l’An, sont préenregistrés pour permettre des pauses et un temps de préparation un peu plus long.
«On ne recommence jamais un numéro, parce que c’est une surprise. On le vit une fois en direct, même quand on est préenregistrés. Mais là, les changements en direct, en plus, avec des gens qui avaient une fébrilité et une sincérité tellement touchantes, tellement heureux d’être là… on a pogné de quoi», a-t-elle indiqué.
«Et pour la première fois en fin de semaine, il y a quelqu’un qui a rampé [pour quitter la scène sans se faire voir à la caméra]. Il fallait faire entrer tout le monde sur la scène. Il y avait comme 50 personnes à installer sur les bancs. Et on est arrivés tellement à la dernière minute qu’il y a quelqu’un qui a littéralement rampé pour ressortir de la scène [alors qu’on était en ondes]», a confié France Beaudoin.




